BDSM : Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sado-Masochisme ») désigne une forme d’échange contractuel pouvant utiliser la douleur, la contrainte, l’humiliation ou la mise en scène de divers fantasmes dans un but érogène et fondé sur contrat entre deux parties (pôle dominant et pôle dominé).
Pour être initiée au BDSM, il me fallait un maître. Je l’ai rencontré en la personne de JL, en participant à deux soirées organisées par ses soins dans un riad au Cap. De retour à Paris et pour marquer la rentrée coquine, il accepta de m’initier dans son donjon, une grande maison tout équipée.
La pratique du BDSM nécessite moult accessoires et équipements, chose que je concevais mais que je n’imaginais à ce point. Matériel utilisé par le maitre pour imposer une douleur plus ou moins forte, plus ou moins contrastée à sa soumise.
Sur les ordres de mon maître, je me suis agenouillée sur la table basse du salon et je lui ai abandonné mon anus. Celui ci fut cravaché et écartelé à l’aide d’un speculum rectal, pendant que les participants aux gang bang me présentaient leurs bites de plus en plus durcies par la vision de mon apprentissage. Le maître travailla ensuite mes grandes lèvres, à l’aide de pinces. J’avais chaud, terriblement chaud, de laisser mon maître s’occuper de moi ainsi.
Après cette entrée en matière, il apporta une touche de douceur toute relative en exerçant des pressions sur mon clitoris avec mon vibromasseur fétiche. Ce fut une alternance d’inconfort et de plaisir, sur fond de musique classique. L’orgasme monta doucement et fut explosif. Je ne put m’empêcher de laisser échapper des cris de plaisir.
Le maître m’imposa ensuite de marcher à 4 pattes, une laisse autour du cou, pour me diriger vers la balançoire munie d’une barre d’écartement qui allait servir à maintenir mes jambes en l’air et offrir ma chatte à ces messieurs.
Avant d’être pilonnée, le maître introduisit un speculum dans ma chatte auquel il fixa un petit led, pour éclairer l’intégralité de mon vagin. Chacun des mâles présents pu ensuite me pénétrer vigoureusement, sous les flashs de l’appareil photo de Numa.
J’eus ensuite la permission de faire une courte pause, de m’asseoir à mon aise et boire une coupe de champagne. Le maître m’imposa rapidement de continuer à sucer même pendant cette pause avant d’enchaîner sur la table de gynéco, sur laquelle ma chatte reçut des coups de cravache.
Nous avons terminé par terre sur un matelas, pour un final sous forme de bukkake filmé par Marco. Une expérience surprenante avec de magnifiques souvenirs à regarder sans modération. Même si je ne suis pas une vraie soumise et que le BDSM n’est pas ce que je préfère dans le libertinage, je suis contente (et fière) d’avoir réalisé cette expérience.
Et si vous souhaitez en savoir plus sur le BDSM : http://www.infortunes.net/conseil_bdsm1.htm
Très osée comme expérience mais cela avait l’air terriblement bon 😉
Bonsoir Madame…
Vous avez découvert les plaisirs de la fessée et ceux du donjon, deux expériences dont vous avez bien perçu l’intérêt. J’ai été surpris de vous voir deviner qu’il y a une sorte de “langage” dans la fessée. Pour une première fois ,”Chap Haut”, Madame. C’est exactement ça. Et pas que pour la fessée.
Le SM est surtout affaire de cérébralité dans laquelle le dominant fait grandir le dominé dans sa soumission, le fait aller de l’avant, le fait progresser. Cette cérébralité devient très forte quand elle s’inscrit dans le cadre d’une relation bâtie sur la connaissance de l’autre, la confiance et la complicité. Les pratiques, et Dieu sait si elles sont nombreuses zé variées, génèrent un ressenti bien plus fort que ce que l’on peut penser. Les coups de fouet, les fessées, comme les pratiques plus dures sont acceptées et savourées.
Dans cette galaxie de sensations épicées, il n’y a pas deux manières de se soumettre ou de dominer les mêmes.
Bravo pour cette volonté de découverte, Madame.
Al