Dans la vie, il y a ce que l’on prévoit (et qui parfois tombe à l’eau) et ce qui arrive de façon impromptue. La vie est souvent pleine de surprises.
Au cours de ce mois d’octobre, je ne prévoyais pas et surtout je n’étais pas préparée à me lancer corps et âme dans un gang bang, ça n’était pas au programme.
L’occasion fait le larron. Nous échangions depuis mi-août avec Pamy, sur un potentiel gang-bang abattage ou une participation à ces soirées « publics disgrâces ».
La providence voulut qu’un de ses contacts dispose d’un somptueux appartement haussmannien dans le 8ème arrondissement de Paris, un soir de semaine. Il connaissait notre goût pour les lieux d’exception ainsi que mon appétence pour la pluralité et nous proposa de m’organiser un gang-bang en quelques jours.
Il faut savoir saisir une opportunité quand elle se présente.
J’acceptais la proposition, consciente que trouver une nounou au pied levé ne serait certainement pas simple et que je manquerai aussi de temps pour me préparer au mieux.
Pamy mit en ligne sur son site pamygangbang.org l’annonce de la soirée et répondit avec professionnalisme, patience et précision à toutes les questions de mon homme. Let’s go !
Alignement des planètes et préparation mentale
Les choses peuvent être désespérément compliquées ou curieusement très simples. Ce que j’appelle l’alignement des planètes.
Pendant les quelques jours qui s’écoulèrent entre la reprise de contact avec Pamy et le gang bang, force était de constater que les planètes étaient alignées : nounou, recrutement des 12 coquins. Il ne me restait plus qu’à être prête physiquement et mentalement.
Le jour J, c’est avec une petite pointe de stress que nous nous présentions mon homme et moi à l’adresse indiquée par Pamy, dans une rue parisienne très chic.
Mais pourquoi stresser, me direz-vous peut être, j’ai fait un gang bang pas plus tard que cet été. Tout d’abord parce que même si 21 coquins étaient présents cet été au Cap, nous étions 3 femmes gourmandes et joueuses en face, @amante-lilli, @ashanti59 (pseudos wyylde) et moi. Ensuite, à bien y réfléchir, c’était la 1ere fois qu’autant de coquins étaient réunis pour moi. Jusqu’à présent j’avais expérimenté des petites configurations en gang bang organisé (3 à 6 coquins). Et enfin, en tant que femme, je me demande toujours si je vais suffisamment plaire et motiver (faire bander) tout ce beau monde (qui plus était venu spécialement pour moi, ce jour-là). Il faut être bien dans sa tête et bien dans son corps.
Me jeter dans l’arène
Le scénario du début de soirée était posé : nous sommes arrivés avant ces messieurs, le temps de reprendre une douche, d’enfiler ma tenue sexy, habiller mes lèvres de rouge (ce qui n’arrive qu’en soirée libertine) et boire une coupe de champagne. Sans oublier de prendre quelques photos.
Le moment venu, mon homme me banda les yeux, accrocha ma laisse et me prit la main pour me guider. Mon cœur battait la chamade, tandis que dans l’obscurité, chaussée d’escarpins à talons, j’avançais prudemment. Lorsque j’atteignais le salon au sein duquel trônait un matelas (je l’avais vu en arrivant), il me lâcha la main.
En silence, les coquins s’approchèrent de moi. Je sentais leurs présences autour de moi et leurs mains se poser sur moi. Surprenant et excitant, j’avoue.
Une main attrapa la mienne et m’entraîna sur le matelas. « C’est moi » me glissa mon homme. D’autres mains me retirèrent mes escarpins. Mon homme retira également le bandeau sur mes yeux. « Waouh » ai-je laissé échapper. Ils étaient 11 au total (seul 1 coquin avait fait défection) presque nus et avec une demi molle exploitable pour certains.
Atteindre mon nirvana
Encerclée et à quatre pattes, je commençais par leur dire bonjour individuellement, en les suçant chacun leur tour.
Je ne tardais pas à récolter les fruits de mon travail et pus profiter de leurs assauts en levrette. “Quel cul” disaient certains. “Où sont les claques ?” demandais-je innocemment. Le message était passé et la levrette devint claquée, pour mon grand plaisir.
De ma propre initiative, je me décalais au centre du matelas pour m’allonger sur le dos et profiter d’un autre angle de pénétration, tout en ayant la possibilité de jouer du regard. C’était rigolo de constater que chaque coquin avait son rythme et sa façon de bouger bien à lui. Je ne les lâchais pas du regard pour ma part, regard que je voulais intense et provocateur et qui cherchait aussi celui de mon homme.
Les coquins avaient été briefés par mon homme et Pamy. Il leur avait été rappelé les “règles” du jeu (notamment pas d’anal, pratique pour laquelle j’ai besoin d’être mise en confiance et travaillée tranquillement). Et il leur avait été demandé d’amener de l’intensité et de la directivité, notamment par des “insultes” et en n’hésitant pas à me bousculer (toutes ces demandes ayant été validées au préalable entre mon homme et moi bien sûr).
L’un d’entre eux lança donc un « on va bien te baiser », conformément au cahier des charges partagé. « J’attends de voir » pensais-je intérieurement. Le sexe est un jeu de pouvoir et je ne le cède pas si facilement. Je constate également que mon cheminement libertin avançant, mener la danse est plus excitant.
Il faut cependant reconnaître que les coquins se sont montrés endurants, performants et suffisamment présents pour que sur-sollicitée, je puisse me relâcher et ressentir une délicieuse sensation de plaisir enivrant et vaporeux. Cet état de plaisir et de lâcher prise n’étant pas systématique lors de mes interactions libertines. Le Graal ?


Le grand final
Nous avions demandé un bukkake pour le grand final de ce gang bang. Mais dans le feu de l’action, me faisant pénétrer vigoureusement de face, allongée sur le dos, l’envie de me faire arroser dans cette configuration était plus forte. Sur ma demande, les deux coquins qui m’entouraient et que je suçais giclèrent donc sur mon visage.
Je me mis ensuite à genoux sur le matelas, pour accueillir les éjaculations des autres coquins, deux par deux. Souriante et féline dans le regard j’étais, pour les encourager à tout donner. Mon homme n’en perdait pas une goutte, filmant et photographiant chaque passage. Le sperme était bien épais, comme j’aime, glissant sur mon visage et mes seins. Et le plaisir était décuplé par celui de mon homme, admiratif et presque ébahi face à ce spectacle.
Recouverte de spermes et heureuse, je fus surprise, flattée et touchée de recevoir des applaudissements pour clôturer ce gang bang.
Direction la salle de bains pour prendre une douche et apprécier encore quelques minutes ce petit nuage de plaisir sur lequel je planais, pendant que les coquins se rhabillaient dans une autre pièce et quittaient les lieux. La soirée se termina définitivement autour d’une coupe de champagne avec Pamy, qui méritait nos chaleureux remerciements pour ce gang bang organisé de façon fluide (c’est le cas de le dire) et très pro.
Ça a du bon parfois l’imprévu.
Quel dommage!
Je suis votre blog depuis longtemps et je suis abonné à la newsletter de Pamy.
Je n’ai pas du tout fait le lien lorsque j’ai vu le nom Tania sinon j’aurais fait parti avec grands plaisir des coquins présent pour vous faire la fête.
Superbe récit…au plaisir de participer à un prochain gang-bang…j’adorerai ajouter ma « contribution » au grand final 😉