Les joies du télétravail

Le télétravail a ceci d’avantageux que l’on peut choisir où travailler, pourvu qu’il y ait du wifi. Et on peut aussi, entre deux dossiers, s’octroyer des pauses coquines. J’avais choisi de m’installer ce jour là dans une chambre d’hôtel parisienne, et pour faire rimer télétravail et sexe, j’avais fait appel à l’apprenti. Le tout en secret, pour surprendre mon homme, candauliste désormais assumé.

Ca n’était pas la 1ère fois, à vrai dire, que je coquinais sans que mon homme le sache. Cela était déjà arrivé de façon impromptue, cet été, dans le Sud de la France, lors d’une escapade haute en couleurs & en émotions. C’était cependant la 1ère fois que j’organisais une partie de jambes en l’air sans qu’il en soit informé.

A deux doigts de rentrer chez soi

Cette coquinerie aurait pu ne pas avoir lieu. A notre arrivée, le réceptionniste de l’hôtel ne retrouvait aucune trace de la réservation (chambre standard de 10h à 17h) et nous annonçait que toutes les chambres étaient occupées. Il fallut attendre quelques minutes et quelques manips pour qu’une solution soit trouvée : nous surclasser en chambre supérieure (l’une d’entre elles venant tout juste d’être faite et nettoyée), mais jusque 15h grand maximum.

Devoir rendre la chambre à 15h ne m’arrangeait pas du tout, car cela allait tomber au beau milieu d’une réunion visio. Mais c’était mieux que rien du tout et je pouvais réorganiser ma journée sans trop du difficultés, étant à quelques stations de métro de chez moi.

Pour l’heure, l’apprenti et moi empruntions le minuscule ascenseur (à peine 1m²) pour atteindre le 6ième étage. Littéralement collée à lui, je lançais l’idée de bloquer cet ascenseur pour faire des cochonneries (proposition qu’il préféra décliner, dommage).

Exploiter tous les mètres carrés de la chambre d’hôtel

Lorsque s’ouvrit la porte de la chambre dite “supérieure”, il nous restait exactement 30 minutes avant le démarrage de nos réunions en visio respectives. La chambre était loin d’être immense (contrairement à ce que les photos sur le site de l’hôtel laissaient penser). Il fallait trouver une répartition de l’espace entre l’apprenti et moi, pour être confortable et ne pas se gêner mutuellement (visuellement et au niveau sonore). Il positionna son ordinateur dos à la fenêtre et j’optais pour la salle de bains, en anticipant le choix du fond d’écran qui apparaîtrait derrière moi.

Plus que 20 minutes. L’apprenti me proposa un cunnilungus, que j’acceptais avec plaisir, voulant jauger (et juger) ses talents en la matière. Mais à peine eut-il le temps de commencer à titiller mon clitoris avec sa langue, tout en prenant l’initiative de me doigter (ce qui me valut quelques soupirs de plaisir) qu’un signal sonore lui indiqua que les participants à sa visio se connectaient, bien en avance. Patience.

Je le laissais s’installer devant l’écran de son ordinateur et tentais de le déconcentrer gentiment, avant de me raviser. Joueuse je suis, mais le boulot c’est le boulot. Il prenait la parole, en anglais, sur une bonne partie de sa réunion visio et se devait de rester concentré, sérieux et pro.

Une heure vingt plus tard, son intervention était terminée mais sa réunion tirait en longueur, alors que la mienne était terminée. Un déjeuner imprévu avec son chef s’était en plus calé entre temps. Nous avions donc une fenêtre de tir très limitée.

Glisser du travail aux plaisirs charnels

L’apprenti coupa son & caméra, dégrafa son pantalon et m’invita à venir le sucer. En l’aidant à retirer son pantalon et son caleçon, je lui rappelais que l’objectif était de faire des photos et vidéos pour mon homme. Je me demandais d’ailleurs à quel rythme lui envoyer ces surprises visuelles : Au fur et à mesure ? Tout d’un coup à la fin des coquineries ? La 2ième option était la meilleure, concentrons-nous sur le plaisir.

Mais qu’est ce donc en bas de cette photo ?

La queue de l’apprenti était gonflée d’excitation et toujours aussi délicieuse à sucer. « J’aime ta queue, lui dis-je, mais j’oublie vite. Il me faut des updates très souvent ». Il sourît. « Et si tu venais t’empaler sur elle ? » enchaîna t-il. Me prendre par les sentiments, c’est moche. Comment résister au plaisir de sentir une bonne queue me pénétrer doucement et bien profondément ? Soupir.

Par la suite, l’apprenti, plus à l’aise que la 1ere fois, se montra plus entreprenant. Il me prit de face, faisant pivoter mon bassin pour varier les angles de pénétration. “Tu es toujours aussi accueillante”, me dit-il avant d’ajouter “qu’est ce que c’est bon”. Je ne boudais pas non plus mon plaisir et n’étais pas avare en cris et gémissements, réclamant encore plus de coups de rein.

Action, réaction

L’apprenti était tout excité, rapidement au bord de la jouissance (Note pour plus tard : il va falloir travailler sérieusement l’endurance) et sous l’œil de la caméra de mon téléphone, il expulsa sur mon ventre une belle quantité de sperme, bien épaisse. “Oh la la, lui dis-je aussitôt en riant, tu vas voir que mon homme va me dire que c’est du gâchis, ce sperme sur mon ventre et que j’aurais du le prendre sur le visage !”

Je me mettais de suite en devoir d’envoyer justement à mon homme l’ensemble des photos et vidéos, sans même les avoir visionné, et guettais sa réaction avec impatience, frustrée de ne pas pouvoir voir l’expression de son visage en découvrant sa surprise.

J’apprenais plus tard qu’il était en plein déjeuner avec ses collègues et qu’il avait du se dépêcher de prendre congé, entendant les nombreuses notifications sonores de son téléphone et comprenant de quoi il s’agissait.

Le moins qu’on puisse dire
c’est que c’était un homme frustré et heureux.

Profiter jusqu’au bout

L’apprenti prit une douche et fila à son déjeuner de boulot. Je décidais de ne pas tarder non plus, de façon à trouver un endroit où déjeuner tranquillement et être rentrée avant ma 2nde réunion visio de la journée.

En rangeant mes affaires, je tombais sur mon womanizer se languissant, seul et triste, au fond de mon sac. Oh et puis, après tout, pas de raison de ne pas faire travailler le womanizer lui aussi. J’avais encore une bonne heure devant moi et ça ne me dérangeait pas de manger un sandwich sur le pouce. J’en profitais également pour poser en lingerie et prendre quelques selfies. C’est important de prendre du temps pour soi.

2 thoughts on “Les joies du télétravail

  1. Un récit terriblement excitant.
    Je confirme que vous avez une plume des plus agréables à lire, et il n’y a pas que votre plume qui est agréable 😉

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