La prise en main de l’apprenti

Nous l’appellerons “l’apprenti”. Ce jeune homme, novice en matière de libertinage, me suit sur twitter et a une grande envie de découvrir les pratiques coquines et le milieu libertin. Petite entorse à la règle (mon compte twitter n’ayant pas vocation à programmer des rencontres ni à recruter des amants), j’avais accepté de boire un verre en sa compagnie pour en discuter, en tout bien tout honneur.

L’échange était resté courtois, comme convenu. Contre toute attente, j’en étais ressortie inspirée et séduite par l’idée de l’initier. Lorsque le moment serait venu et les conditions réunies telles que je l’imaginais, j’étais prête à un rapprochement charnel.

Faire ou ne pas faire la surprise à mon homme

J’étais partie dans l’idée de faire une surprise à mon homme, lui qui avait exprimé le souhait d’être surpris par la réception de photos cochonnes, prises lors d’un plan dont il n’aurait pas eu connaissance. Mais doutant un peu du fait qu’il s’agisse d’une bonne ou mauvaise surprise, je le mis finalement au courant la veille. Sur quoi il me répondit : “Ben c’est plus une surprise du coup”. Et il affirma à nouveau son désir de vivre cette expérience. Bon, pour une prochaine fois alors.

Revenons à l’apprenti. Rendez-vous fut pris au Love Hotel, dans le quartier des Halles, à Paris, entre midi et deux. Cet établissement, que je ne connaissais pas, ayant un emplacement central pour nous deux. Nous avions convenu d’un mini scénario : Je devais lui bander les yeux à son arrivée et il devait me laisser maîtresse des coquineries. Scénario qui lui plaisait plutôt bien.

Prêt à se laisser aller au plaisir voluptueux ?

Nous voilà donc dans cette chambre du Love Hôtel. Je branche ma mini enceinte et lance un fond musical plutôt R&B et lascif. Il allume la télé et trouve une chaîne adultes. Les détails techniques étant réglés, nous nous faisons maintenant face. L’apprenti est impressionné, cela se sent et cela se voit, et il ne sait pas s’il doit ni comment prendre les devants. Je m’approche de lui et lui met le bandeau, comme convenu. Puis le guide jusqu’au lit pour qu’il puisse s’y asseoir.

Je me déshabille pour enfiler la lingerie mauve qu’il a choisi, parmi les 3 couleurs de lingerie que j’ai apportées. La lingerie s’emmêle, je perds patience et décide de rester nue, en l’annonçant à voix haute. C’est donc entièrement nue, que je viens m’asseoir sur lui, pour l’embrasser toute en lui caressant les cheveux. Je sens déjà une bosse dans son jean.

Je lui enlève pantalon et caleçon et le pousse à s’allonger. Je relève également son tee shirt et remonte vers sa bouche en glissant mes seins nus sur son torse, lui suçant les tétons au passage. Je glisse également un doigt dans ma chatte trempée et le dépose sur sa langue en disant : “J’ai oublié le lubrifiant mais je crois que je ne vais pas en avoir besoin”. Je redescend vers son sexe en érection, pour le prendre en bouche avec gourmandise. Il en reste bouche bée de plaisir. “C’est vraiment en train d’arriver”, dit-il, “là maintenant, dans cette chambre”.

Au fur et à mesure de mes ondulations et caresses, il se montre moins timide, caresse mon corps, cherchant dès que possible à sucer mes tétons, qu’il sait sensibles. Se sentant bien dur, il me propose de venir m’empaler sur lui. “C’est si gentiment proposé” lui dis-je, en lui tendant un préservatif que je lui mets au défi d’enfiler les yeux bandés.

La sensation de son sexe me pénétrant lui arrache un râle de plaisir et me fais gémir. Je privilégie des mouvements lents et me redresse pour avoir le maximum de profondeur. Dans la chambre les différents miroirs aux murs et au plafond donne des angles de vue intéressants.

Bas les masques

L’envie de plonger mes yeux dans les siens est trop forte, je lui enlève le masque. Il pourra profiter lui aussi du moment sous tous les points de vue.

Je m’allonge sur le lit à mon tour pour qu’il me prenne de face. Les reflets dans le miroir fixé au plafond apportent indéniablement une autre dimension. J’en demande encore, des coups de rein plus forts et plus profonds. L’apprenti est très excité, il doit faire une pause pour ne pas gicler trop tôt. Il faut dire que je lui ai demandé de ne pas éjaculer plusieurs jours avant notre rencontre et que la tension sexuelle entre nous est forte. Je lui pardonne donc sa petite endurance du jour. Un ou deux renforts aurait(ent) bienvenu(s) malgré tout, à ce moment là.

Je me sers alors de mon hitachi pour me faire jouir. Je crie de plaisir quand l’orgasme attend son paroxysme. Ce qui a pour effet de faire durcir l’apprenti. J’ai envie de sa queue en levrette. Il s’exécute, prenant au passage quelques photos avec mon téléphone. Mais au bout de quelques minutes, la coupe est trop pleine. « Approche toi vite » me dit-il d’une voix haletante. Je viens chercher l’éjaculation faciale que j’avais demandé, en vue de photos indécentes pour mon homme.

Je sens la pression qui retombe doucement après cela. L’apprenti prend une douche, moi aussi. J’aurais été partante pour un deuxième tour mais le temps nous manque. Nous nous rhabillons. « Comme si de rien n’était » dit-il me voyant enfiler mon manteau par dessus ma tenue classique (pull et jean).

En vérité, il n’y a rien de plus naturel que le sexe entre adultes consentants.

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