Cap édition 2016

Dans les semaines précédant notre séjour au Cap, j’ai rêvé, fantasmé, mouillé rien qu’en imaginant les futurs moments que j’allais vivre la bas.

Toutes les bonnes choses ont une fin, nos vacances d’été 2016 au Cap sont maintenant finies. Retour sur les moments forts de cette édition riche en rebondissements qui resteront longtemps vifs et excitants dans mon esprit [Clin d’oeil]

Un démarrage en douceur

Les 4 premiers jours de notre séjour au Cap ont été relativement calmes : Prendre ses marques avec nos colocataires, profiter du soleil sur mon corps nu, participer à une pool party aux Jardins de Babylone, organiser nos premiers apéros coquins, retrouver et trinquer avec nos connaissances libertines, dont le coquin Lyonnais venu lui aussi profiter des plaisirs du Cap.

Une montée en puissance sous le signe du TBM

Tout est vraiment parti en vrille à partir du jeudi. Cette journée fut à elle seule rythmée par 3 temps forts. Deux hommes, le coquin Lyonnais et mon homme, rien que pour moi en début d’après midi. Délicieux moment, en particulier celui où leurs deux queues m’ont rempli en même temps au même endroit. Humm….

Il a fallu ensuite que le vent souffle trop fort, rendant une sieste sur la plage épique, et qu’aucun transat au Waiki ne soit libre pour nous pousser inexorablement mon homme et moi vers le sauna 2+2, ouvert aux couples et communiquant avec le sauna histoire d’o, lui ouvert aux couples et hommes seuls. Mes 1ères grosses queues du Cap mais pas assez d’éjaculations à mon goût. Interrogés sur le sujet, ces messieurs répondaient garder leur semence pour profiter le plus longtemps possible et gicler avec la dernière dernière dernière fille. Et moi alors ?!

Et pour terminer cette journée déjà bien remplie, une soirée thème chiens/chiennes. Apéro et fous rires avec nos colocataires. J’enfile robe en latex noire zippée entièrement devant (plus pratique pour l’enlever), laisse rouge, nouveaux talons de 12 et c’est parti.

La soirée prend une tournure totalement et délicieusement inattendue lorsque le Capitaine, dans un subtil et excitant mélange de fermeté et de douceur, prend les choses en main. Nous sommes 2 couples, 1 femme seule (Russe) et 3 hommes seuls à le suivre dans sa suite pour une partouze privée improvisée, alors que les nombreux autres convives poursuivent la soirée privée au sein du Riad. Et un finish en bukkake sous les ordres du Capitaine pour mon grand plaisir.

Nouvelle journée, nouveau thème : à l’abordage ! On m’avait beaucoup parlé des pirates, un groupe de mecs black plutôt bien montés. Ils passaient régulièrement sur notre fiche NetEch, surtout quand nous étions au Cap.

Mon envie de sperme encore vivace, c’est avec impatience que j’attendais mon GB organisé au pied levé grâce à un ami coquin.

Et j’ai été servie et honorée !!! 4 belles queues qui ne faiblissent pas, des coups de rein énergiques, une pointe de tirage de cheveux, une session de pilonage debout avec mes talons roses, un bukkake et des beaux souvenirs immortalisés par mon homme (films et photos qu’il regarde encore et encore).

Ils sont 13 à l’heure actuelle dans la team pirates. C’était bien 4 pour commencer…

On lâche rien en fin de séjour

S’envoyer en l’air était la devise de la soirée costumée du vendredi. L’hôtesse de l’air que j’étais ce soir là savait indiquer les issues de secours et donner les consignes de sécurité. Et ce fut avec un immense plaisir que j’ai pu mener 4 hommes au 7ième ciel, avec mon regard de chienne lubrique (ce regard est de plus en plus souvent récurrent, j’avoue) et ma langue léchant mes lèvres d’envie de recevoir encore du sperme.

Après un samedi après midi au calme au bord de la piscine du Waiki, ambiance plus chaude et débridée au bord d’une piscine privée cette fois, le dimanche après midi. Thème ‘poules party’.

L’occasion de coquiner une dernière fois avec l’Allemand, que j’avais croisé régulièrement tout au long du séjour, et le copain Allemand de l’Allemand. Et, comment vous dire, celui là était très très bien membré. A tel point que les femmes n’osaient pas s’approcher de l’engin à la longueur impressionnante.

Sur les encouragements de mon homme et de Bernd, je me lançais, ne voulant pas mourir sans savoir quelles sensations une telle queue pouvait procurer. Ouch ah oui quand même, je la sens bien passer celle là…
Après cette nouvelle expérience de la Deutsch Qualitat, rdv au Riad pour un dernier apéro proposé par le Capitaine. Apéro sous le signe de l’amitié et qui était l’occasion de discuter en dehors de l’excitation des soirées organisées là bas.

Original de voir l’immense patio de jour, au calme, servant d’étendoir aux serviettes et draps de la veille, alors qu’habituellement nous l’arbordions de nuit, dans une ambiance musicale festive,  rempli de libertins en tenue osée.

Le capitaine nous offre une coupe, deux puis trois. Notre couple d’amis Ambianceurs nous rejoint ainsi que d’autres libertins. Et voilà qu’une jeune demoiselle pas farouche se retrouve sur une table de gynécologie travaillée au corps par un équipe improvisée de médecins et infirmières, à l’aide d’instruments. Elle se laisse aller, confiante, se débat parfois sous l’intensité du plaisir, ce qui nous contraint à nous mobiliser pour maintenir bras et jambes.

Quand soudain je le vois, lui, le sextoy que je convoite avec ardeur, le Womanizer. Je veux l’essayer. Le temps de poser un rosebud d’une taille intéressante à la jeune demoiselle (qui avait obligation de le garder tout le reste de la soirée), je prends sa place sur la table de gynécologie et attend, à la fois excitée et un peu inquiète.

Waouh waouh waouh !!! Mon corps se crispe et se cambre de plaisir tant la sensation est intense. Je crie, je hurle même, comme jamais dans ma vie sexuelle auparavant. Mon homme est obligé de bâillonner ma bouche avec sa main et on augmente le son de la sono pour couvrir mes cris. Le womanizer est aussi puissant que ce qu’on m’a dit. Une sensation d’aspiration puissance 1000 concentrée sur le clito.

L’orgasme est une explosion, mais d’intensité mineure finalement par rapport à tout le plaisir pendant la montée de l’orgasme. Et contrairement à mes orgasmes habituels, après lesquels je ne supporte plus de stimulation, le plaisir restait constant après celui ci et j’aurais pu continuer à être stimulée encore, encore et encore…

Boudiou de boudiou. Un bon cru ce Cap 2016, vivement l’année prochaine !!

Feder – Goodbye feat Lyse > https://youtu.be/Mptdcx36qZU

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