eXecutive Sluts

[EMPLOIS A POURVOIR]
ParisVices recrute pour renforcer ses forces vives et contribuer au plaisir féminin.
Profil recherché : hommes polyvalents, inventifs, endurants et ayant une expérience significative en gang bang et pluralité.
Session de recrutement collective en présence de notre équipe RH le 01er mai. 
Détails et inscription sur parisvices.com

Cela aurait pu commencer par une petite annonce de ce style. Joueuse et curieuse je suis. Me glisser dans une tenue de working girl me plaisait bien. Participer à ce scénario eXecutive Sluts dans un tout nouveau lieu, avec de nouvelles copines de jeu, m’inspirait beaucoup. Et c’était l’occasion de recroiser l’organisateur @x-files.

“Lire la suite”

Une équipe de recruteuses engagées et expertes

Nous étions 5 femmes destinées à recevoir en entretiens 14 candidats, afin de les tester en deux temps : lors d’un échange verbal et lors d’un échange charnel.

5 femmes au profil différent mais avec un dénominateur commun : derrière une tenue volontairement strict et sexy, nous étions des véritables gourmandes de sexe.

Il était prévu que nos hommes restent observateurs dans la 1ère phase et puissent apporter (joyeusement) leur contribution dans la 2ième phase.

Parmi les participants, notre couple d’amis @Nous75le, que nous connaissons de longue date. Anecdote cocasse (compte tenu du thème) : Lors de notre 1ère rencontre (au Cap), nous nous étions rendu compte que Mr @Nous75le et moi même étions concurrents [A lire sur mon blog].

Une fois toutes arrivées et apprêtées, @x-files nous donna les détails du scénario qu’il avait imaginé pour l’occasion : A l’aide d’une grille d’évaluation, nous allions questionner les candidats (deux par deux, avais-je suggéré), pour jauger leur répartie et motivation, avant de passer aux travaux pratiques, en conditions réelles.

Il nous demanda d’être aussi sérieuses que possible, pour mettre ces messieurs en conditions (ils ignoraient les détails de ce qui les attendaient). Un défi pour moi qui ai le sourire très facile. 

Cela me joue d’ailleurs des tours pendant les gang bang. Mon sourire inspire plus de la douceur alors que, dans ce contexte,  j’aime les interactions avec de la poigne. Une des coquines présentes en convenait et me dit : « Il faudrait te bander les yeux, même tes yeux sourient ».

En position et montrez nous ce que vous avez dans le caleçon 

L’espace dédié au recrutement était une grande pièce aménagée en donjon, avec de nombreux accessoires BDSM : Croix de saint André, cheval d’arçon, entraves, chaînes et une collection de fouets en veux-tu en voilà.

Dans cette pièce, une rangée de 4 chaises (pour les recruteuses) était installée, face à deux autres chaises (pour les candidats). La 5ième recruteuse avait le rôle de DRH en chef et était chargée d’aller chercher les candidats, pour les amener jusqu’à nous.

Deux par deux, plus ou moins impressionnés, plus ou moins bavards et à l’aise, les candidats se présentèrent et vinrent argumenter sur leur profil, leurs motivations et atouts. La luminosité de la pièce avait été atténuée et une enceinte diffusait une musique au pulsations profondes, pour créer une ambiance enveloppante et propice au relâchement et à l’excitation. 

Parmi les questions qui étaient posées aux candidats :

  • Qu’est ce qui vous a motivé à venir ici ce soir ?
  • Quel objet dans cette pièce vous inspire ?
  • Peut-on voir votre caleçon ? Et votre engin ?!

Ce qui suscitait chez ses messieurs, vous l’imaginez bien, de la surprise et en décontenançait (gentiment) certains. Nous étions néanmoins des recruteuses plutôt bienveillantes et compatissantes (Et je ne pouvais m’empêcher de sourire).

Leur était également demandé de lécher les seins d’une des recruteuses et la chatte d’une autre, pour jauger en avant première de leur coup de langue (et attiser leur désir aussi, un peu).

Le collègue libertin, l’heure des révélations 

Parmi les « candidats », un visage ne m’était pas inconnu. 

Moi en chuchotant à ma voisine : “Je le connais lui, j’ai découvert que c’est un collègue. Faudra que je te raconte.”

Mme @Nous75le : “Ah oui ?! Mouise”

Le jeune homme en question protesta alors vivement : “Non, non, pas du tout, je ne suis pas ton collègue !”

Ah bon…

Etant donné que nous n’allions pas interrompre la session de recrutement en cours pour une énorme digression, il fallait patienter pour tirer ça au clair. Ceci dit, à partir du moment où le coquin posa sa bouche sur mon sein, les dés étaient jetés, d’une certaine façon. 

Ce ne fut qu’une fois les 14 candidats passés et lors du temps de « relâche » qui nous fut accordé, que je pus avoir le fin mot de l’histoire. 

Moi : “Alors dis moi”

Lui : “Ben, on n’est pas pas du tout collègues, je bosse chez [nom de l’entreprise qui n’était effectivement pas la mienne].”

Moi : “Ah oui mince, je suis désolée. J’espère que cela ne t’as pas causé d’ennuis !”

Lui : “Non ça va”

Oupsy, avais-je envie d’ajouter face à ce qui était véritablement un quiproquo suite à une discussion entre lui et moi [à lire sur mon blog] lorsque nous nous étions croisés précédemment mais surtout une (plutôt) mauvaise interprétation et une erreur sur la personne de ma part. L’erreur (même libertine) est humaine, après tout.

Au travail maintenant 

Après cette courte pause et cette (fracassante) révélation, tous les protagonistes (recruteuses et leurs hommes, candidats) furent invités à rejoindre à nouveau la salle de jeux BDSM pour la partie atelier / travaux pratiques. 

Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il fallait jouer de souplesse et de créativité. Il n’y avait en effet pas de matelas prévu dans cette pièce (un matelas s’avérant toujours bien utile et pratique pour s’allonger et être entourée). 

Nous devions donc toutes « composer » avec le matériel présent. Ce qui avait un certain charme, ceci dit, et avait le mérite de changer, me concernant. J’alternais donc les positions plus ou moins acrobatiques, à genoux sur un canapé (pour une levrette), à genoux par terre, sur des coussins (pour une fellation), assise dans un fauteuil et jambes écartées, allongée sur un cheval d’arçon (qui n’était pas stable à 100%), debout appuyée contre une poutre, cambrée, le cul tendu. Tout était bon pour servir d’appui et profiter de la grande forme de ces messieurs. 

Parmi eux, l’ex-collègue (je vais l’appeler ainsi maintenant), plutôt bien doté par la nature, ne démérita pas. J’avoue que j’étais même déçue que, un peu trop rapidement à mon goût (mais jouant le jeu de la pluralité), il cède la place à un autre. Cela aurait mérité d’être approfondi davantage, lors d’un atelier de travail dédié.

L’atmosphère dans la salle de jeux BDSM était brûlante à souhait. Une tension sexuelle palpable galvanisait tous les protagonistes. Les autres recruteuses RH, loin de rester inactives, donnaient de leur personne pour assurer la réussite de ce recrutement ambitieux. Les candidats restaient concentrés jusqu’au bout. Tant et si bien qu’à prendre du plaisir et prendre plaisir à regarder et écouter, le temps fila. Il nous fallu partir, sans trop tarder (et en renonçant à un potentiel deuxième tour), pour notre deuxième journée de travail.

Choisissez un travail que vous aimez, et vous n’aurez jamais à travailler un seul jour de votre vie.

2 thoughts on “eXecutive Sluts

  1. Magnifique reportage remarquablement troussé comme d’habitude qui plonge dans l’ambiance de ce recrutement “hors normes”. Lire Tania est toujours un délice qui ne laisse ni mon âme… ni mon corps indifférents. Merci brillante Tania de nous faire participer – hélas via ta plume seulement – à tes activités éminemment cul-turelles.

    je suis déjà impatient de me détendre sur ton prochain reportage, toujours savoureux, toujours magistralement rédigé et toujours… très chaud !

    Merci et bisous !

  2. Merci pour ce récit !

    J’adore les détails qui nous permettent d’être plongés dans ce recrutement comme si nous étions candidats voir plus 😜

    Que de plaisirs et d’émotions à lire !

    Encore Merci charmante Tania 😍

    Alain

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