Je compte les jours.
Je ronge mon frein.
Je bous d’impatience.
Je suis dans les starting-blocks.
(Oui j’aime les expressions, j’avoue)
Ecouter ses envies
J’ai envie d’activer mon message d’absence et inviter subtilement et gentiment mes interlocuteurs professionnels à aller se faire cuire le cul (subtilement et gentiment on a dit).
J’ai envie de partir, de changer de vue, de sortir des habitudes du quotidien, d’ouvrir au maximum le champs des possibles.
J’ai envie de passer la barrière du camp naturiste du Cap d’Agde. Parce que qu’une fois cette barrière franchie, je me délesterai des vêtements qui engoncent le corps, ma charge mentale sera moindre et je serai comme dans une bulle, dans un monde parallèle, hors du temps, des contraintes et des conventions. J’oublierai (presque) tout.
Mes seules préoccupations seront comment je m’habille (ou pas), avec qui je trinque ou baise (si je veux) et où se trouve mon lit (obligatoire). Certainement caricatural, réducteur et excessif, j’en ai conscience. J’assume, car tellement léger, jouissif et libérateur.
Je ferai pencher la balance de ma vie exclusivement du côté de la sphère libertine, du côté obscur, mystérieux et transgressif.
Continuer de cheminer
Et cette année, c’est la 10ieme année (non consécutive) que nous allons au Cap, mon homme et moi. 10 ans de séjours estivaux rythmés par des moments en lévitation et au nirvana mais aussi des complicités et fous rires, toujours dans l’authenticité des rencontres, comme ce fut le cas l’année dernière, pour l’édition #Cap2023.
L’occasion de poser par écrit, cet été, sur mon blog, les motivations et émotions qui sont les miennes au Cap d’Agde. Le tout avec une touche de musique, parce qu’il y a toujours du son et de la vibe dans ma tête. Vous êtes prêts, aussi impatients que moi ?! No stress