Chibres et sentiments : les plaisirs d’une soirée libertine

Au cours de cette soirée libertine, j’ai vu et gouté à de nombreux chibres mais aussi versé dans le sentiment. C’est tout moi ça.

L’alignement des planètes, c’est maintenant

Le mois de mars était déjà riche en luxure et cette soirée n’était pas prévu dans l’agenda. Dame nature m’a fait une surprise, avançant suffisamment mon cycle menstruel, pour ouvrir le champs des possibles. Quand la disponibilité de la nounou numéro 2 fut confirmée, je pus dire un grand oui à cette luxure imprévue.

C’est fou d’ailleurs, comme parfois les choses sont compliquées, avec cette impression de devoir forcer le destin. Alors que d’autres fois, elles sont étonnamment simples, comme si les planètes s’alignaient d’elles-mêmes. J’aime cette fluidité naturelle.

Le choix toujours fatidique

Comment allais je m’habiller ? Ce fut la grande question qui me tarauda, comme d’habitude. Sachant que d’après mon homme, j’ai beaucoup de tenues coquines et trop peu d’occasions de les mettre.

Pour autant, on a beau avoir le choix, celui-ci s’avère toujours complexe. Le format de la soirée et le thème aident parfois. Pour la soirée qui s’annonçait, le format était posé (multicouples, femmes et hommes seuls avec un quota d’hommes attendus plus important, dans une optique de pluralité) mais il n’y avait pas de thème particulier.

Entraient également en ligne de compte le niveau d’aisance recherchée et le degré de bitch attitude que j’avais envie de dégager. Parce que oui, d’une tenue à l’autre, l’effeuillage peut être plus ou moins compliqué et le message subliminal complément différent, à la fois pour moi qui porte la tenue que pour les protagonistes autour de moi.

La séance d’essayage avant la soirée fut donc stratégique pour trouver une tenue répondant à tous ces critères et surtout me permettant de me sentir sexy et en confiance. Je voulais que l’attention se porte sur mes seins. C’est donc sur une nouvelle robe noire, faisant la part belle à ma poitrine que mon choix se porta.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette robe a réchauffé l’ambiance.

Revoir des visages connus et des chibres appréciés

Quelle ne fut ma surprise en arrivant de retrouver Angèle, jolie libertine avec laquelle j’avais passé un moment endiablé il y a quelques années. Elle était accompagnée d’un complice. Son mari était également là et tenait le bar. L’occasion de les présenter à mon homme, qui ne les avaient jamais rencontrés, et de me remémorer qu’à la fin de nos ébats, j’avais “oublié” mon string chez eux.

Lorsque tous les couples et femmes seules furent arrivés, nous fument invités à nous installer à l’étage du loft. Ce lieu parisien à la déco industrielle, se composait d’un rez de chaussée et d’un étage accessible par un escalier en colimaçon. Il nous était familier puisque nous y avions déjà passé de nombreuses soirées libertines, comme cette soirée pluralité en 2019.

La configuration des lieux permettait donc de regrouper une partie des protagonistes à l’étage, tout en leur laissant la possibilité d’observer, en contrebas, les hommes seuls se déshabillant et attendant (fébrilement pour certains).

Je distinguais parmi eux des visages connus : un Italien rencontré lors de la soirée de la semaine précédente et un libertin que je croisais toujours avec plaisir depuis des années (pseudo wyylde et_pourquoi_pas).

Les discussions avec Angèle se poursuivirent à l’étage. Je zieutais en bas de temps en temps (curieuse je suis). Angèle avait ses yeux posés sur moi, brillants de désir, ce qui me faisait délicieusement frémir intérieurement.

Je ne m’interrogeais pas sur le déroulé et/ou la réussite ou non de cette soirée, je laissais les choses avancer comme l’univers le voulait et vivais sans retenue l’instant présent.

Et soudain la clochette retentit

C’était le signal : au retentissement de la clochette, les couples et femmes seules étaient invités à descendre rejoindre les hommes seuls. Comme vous pouvez l’imaginer, cela provoqua une agitation certaine, comme si on avait lâché les “chiens fous” ou que tout le monde jouait soudainement au jeu des chaises musicales.

S’il est vrai que c’était de l’intensité que j’étais venue chercher, j’avais du mal à trouver ma place dans cette effervescence. Je n’étais pas la seule, à en juger par les femmes qui restaient elles aussi en retrait.

Je décidais de me lancer avec l’Italien (qui paraissait aussi perdu que moi, soit dit en passant). Je m’agenouillais devant lui pour le sucer. Mais il ne parvenait pas à bander. Je finis par lâcher l’affaire / le chibre, avant de tomber dans l’acharnement (thérapeutique ?!). Pour autant, je ne lui en tenais pas rigueur. Il m’avait bien honorée une semaine auparavant et dans l’absolu, l’homme n’est pas une machine à bander (bon c’est quand même appréciable quand il y arrive).

En piste pour le second tour

Je sentis l’effervescence retomber et vis les corps moins s’agiter pour davantage se concentrer sur des matelas posés au sol. Le 1er tour se terminait, pour laisser place au second tour, davantage propice à des rapprochements plus personnels et dans la complicité (même si les maîtres mots de la soirée restaient pluralité et intensité).

Le charmant et_pourquoi_pas vint vers moi (sans arrière pensée ?!). Après quelques mots échangés pour prendre des nouvelles, je décidais de l’emmener pour une chevauchée scandaleuse. Parce que, comme je le dis souvent, j’oublie les chibres, il me faut des updates réguliers.

Et ce fut un plaisir de retrouver le sien, en levrette. A tel point que je proposais de tenter une double vaginale, saisissant au vol l’opportunité d’un autre chibre en érection à proximité. Une position technique qui ne put durer longtemps.

A l’issue de ce moment coquin, mes déambulations m’amenèrent dans une autre pièce, à admirer les ébats d’une soumise avec plusieurs hommes, sous les ordres de son maître et mari.

« Tu sais qu’on s’est déjà croisé ? »

Je me tournais vers le coquin qui engageait la conversation et lui répondis : « Ah oui ?! »

« La 1ere fois c’était à l’apéro libertin que tu avais animé. C’était sympa, tu en feras d’autres ? »

« Oui, pourquoi pas ! »

« On s’est aussi croisé à une soirée libertine »

Ce jeune homme au regard plein de désirs (et au chibre en érection), me signifiait clairement que j’étais à son goût et qu’il osait (enfin) venir à mon contact. Ce que je trouvais à la fois touchant et excitant.

« Montre moi de quoi tu es capable… » lui dis-je.

Je m’appuyais sur le canapé en face de moi pour tendre ma croupe, tout en restant debout. Une position que j’affectionne et qui offre un angle de pénétration original. Le coquin ne se fit pas prier, s’équipa rapidement d’une capote et s’engouffra au fond de moi. A ses râles de plaisir, je comprenais qu’il appréciait le moment. Je sentais sa queue s’emboîter dans ma chatte bien mouillée. C’était bon. Ses assauts avaient donné des idées à d’autres et il laissa la place à un autre chibre. Il était beau joueur mais j’aurais bien voulu encore du sien.

Une consultation improvisée

Après toutes ces émotions, je retournais au bar me rafraîchir et croisais à nouveau Angèle. Elle venait de jouer elle aussi, avec son amant. Il avait relâché la pression sur ses (jolis) seins. Elle essaya de le relancer pour qu’il s’occupe de moi, mais c’était peine perdue. Elle en profita malgré tout pour me caresser et m’embrasser. Je lui rendais ses baisers et caresses avec fougue et excitation. Ses lèvres étaient délicieuses et sa peau toujours aussi douce. Le temps semblait suspendu à cet instant là, comme si il n’y avait plus que nous deux dans une chaude bulle de sensualité.

Elle me prit par la main, je la suivais. Plutôt que de choisir un matelas au sol ou le canapé occupant la pièce centrale, elle m’invita à m’installer sur un fauteuil de gynécologie. Mes pieds trouvèrent naturellement leur place dans les étriers et je fus dans une position confortable, prête à me laisser aller encore davantage. Elle glissa ses doigts dans ma chatte gonflée d’excitation, m’arrachant des râles de plaisir, qui excitèrent mon homme. Quand Angèle retira ses doigts, iI prit la (bonne) initiative de venir me pénétrer. Son sexe s’engouffrait en moi et épousait le mien, pendant que je me délectais du doux téton d’Angèle, quand (une fois n’est pas coutume) j’eus un orgasme vaginal et me sentis clairement éjaculer / squirter.

Un autre coquin put profiter de ma chatte ouverte et offerte, avant que mon énergie ne décline drastiquement. Je remerciais Angèle pour ce moment puissant et marquant. Je lui confiais également qu’un de mes fantasmes était d’avoir un vrai date avec une femme et que je souhaitais que ce soit elle (avec la possibilité de faire venir des hommes /chibres en 2ième partie de soirée). Nous nous promîmes de prévoir cela quand nos agendas respectifs le permettraient #ohlala

One thought on “Chibres et sentiments : les plaisirs d’une soirée libertine

  1. Vous lire, vous suivre ici, sur Tweeter/X est une expérience tout aussi agréable pour l’intellect que pour le corps.

    Il y aussi des termes qui me marquent…là je dirai celui de confiance.

    Vous êtes une femme, une belle Personne.

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