Super dépanneur

Ca aurait pu commencer par une petite annonce : jeune libertin TBM disponible pour dépannage express. Satisfaite ou satisfaite.

Pendant que le déplacement pro de mon homme, nous échangions beaucoup par texto, en particulier pour parler sexe (3 mois d’absence, faut meubler). Ce jour là, j’étais chaude comme une baraque à frites, l’absence de mon homme aiguisant mes sens et attisant mes envies.

Mon homme a rapidement perçu mon niveau d’excitation à travers de nos échanges. Et pour parer à mon envie de sexe, il prit l’initiative, bien qu’à presque 5 000 km de distance, de contacter pour un dépannage express (le soir même) un jeune homme libertin bien sous tous rapports, que nous avions croisé en soirée coquine privée. Délicate attention.

Le jeune homme se présenta à l’heure, toujours aussi charmant. J’étais un peu nerveuse, me demandant si après tant de temps (nous nous étions rencontrés il y a presque 2 ans) et après une grossesse, j’étais toujours désirable (le cas contraire aurait pu être laborieux) et comment les choses allaient se passer (allait-on faire un diagnostic détaillé ou allait il directement mettre les mains dans le cambouis).

Mon homme était partisan de l’option 2 et m’avait mise au défi de sauter littéralement sur mon dépanneur dès qu’il aurait passé le pas de la porte. Mais mon humeur s’est révélée toute autre. Je voulais prendre mon temps.

Nous avons donc discuté autour d’un verre, nous racontant mutuellement les années passées ; ma pause dans le libertinage et le nouveau statut du dépanneur (en couple avec une libertine). Reprendre contact.

Et vint naturellement le moment où je ne voyais plus que ses lèvres et où je ne pus réfréner l’envie de les embrasser. Il me laissait venir à mon rythme et ne voulait être à l’initiative de lancer les choses, préférant se sentir désiré, le coquin.

Après quelques baisers, mes mains baladeuses allèrent rapidement dégrafer son pantalon. Ma langue et ma bouche avaient maintenant envie de se poser sur son sexe.

En (re)découvrant son engin, je me rendis compte que j’avais oublié à quel point mon dépanneur était TBM (oui c’est tout à fait possible d’oublier ce genre de détail, ne te moque pas, lecteur/trice). L’espace d’un instant je me suis demandée s’il allait bien pouvoir rentrer. C’était sans compter sur la patience du dépanneur.

Il fit monter l’excitation sans affolement aucun, avec un doigté doux et un coup de langue précis qui me procuraient des frissons de plaisir. Il prendrait le temps qu’il fallait, je le sentais et relâchais progressivement mon corps et mon esprit. Laisser le désir monter.

Quand il me sentit prête (vibrante de plaisir), il prépara son engin, enfilant un préservatif sans me quitter des yeux. Je l’attendais. Quand son chibre pénétra pour la 1ère fois ma chatte, mes lèvres s’écartèrent doucement pour l’engloutir progressivement et entièrement. Le dépanneur s’immobilisa quelques secondes pour nous laisser le temps d’apprécier la sensation d’être remplie (pour moi) et de remplir (pour lui), puis commença doucement des va et vient. Oh la la.

Attentif et dévoué, mon dépanneur s’appliqua à tester plusieurs positions et plusieurs rythmes, en continuant de plonger son regard dans le mien et en ressentant chaque frémissement de plaisir de ma part. Il était à l’écoute de mon corps.

Et à un certain moment, hi ha, une explosion de plaisir envahit mon bassin et déclencha une coulée de cyprine. Cette sensation singulière était tellement forte qu’elle frôlait la douleur. Coutumière des orgasmes clitoriens, le doute n’était pas possible : j’étais en train de ressentir un puissant orgasme vaginal.

Le dépanneur n’en resta pas là. Maintenant qu’il avait trouvé la combinaison gagnante (position, angle et rythme), il se délecta de me donner orgasme sur orgasme. 5 ou 6 d’affilée, je ne me souviens plus très bien, troublée que j’étais par ces sensations fortes. Il pouvait être fier de lui.

Après cette vague de spasmes de plaisir, quelques photos et une vidéo prises dans le feu de l’action (pour mon homme), le dépanneur et moi avons refait le monde (sexuel) et échangé autour des changements qui s’étaient produits pendant cette période de “célibat” pour moi (Discussion fort intéressante au demeurant).

Le dépannage aurait pu se terminer à ce moment là. J’étais parfaitement détenue et repue de sexe. Objectif atteint. Il restait cependant à s’occuper de Monsieur (ah oui c’est vrai…). L’occasion de prendre une dernière photo de son sperme sur mon ventre.

Sa mission étant pleinement remplie, le dépanneur ne souhaita pas s’attarder et prit congés. De mon côté, je me mis en devoir d’envoyer les photos et la vidéo à mon homme, et de lui faire un debrief de la soirée (il attendait avec impatience).