Mon histoire avec le sperme est une histoire d’amour “je t’aime, moi non plus”. Nous avons des hauts et des bas, mais nous ne pouvons nous passer l’un de l’autre.
En toute honnêteté, avant de rencontrer David, je n’avais jamais goûté au sperme. Mon ex avait pourtant souvent essayé de me faire goûter le sien, en vain. Le sperme ne m’attirait pas du tout, bien au contraire.
Aujourd’hui, j’apprends à aimer le sperme, doucement mais sûrement. Entre le dégoût que je ressentais au début face à cette substance chaude et étrangement visqueuse, et le plaisir que j’éprouve maintenant quand il glisse et coule sur mon corps, il y a déjà eu un grand pas.
J’ai fini par y goûter, j’ai fini par avaler. Est ce que j’ai aimé ? Pas vraiment. Mais je ne voulais pas mourir idiote et je voulais aussi faire plaisir à mon homme (plaisir ultime pour un homme n’est ce pas ?!). Constat (comme toutes celles qui sont passées par là) : en fonction de ce que l’homme mange, le sperme n’a pas du tout le même goût, une pointe d’acidité parfois. Et d’un homme à l’autre, le sperme n’a pas la même texture : plus ou moins liquide.
Je n’avale pas très souvent (step by step, oh la la) parce que je n’y prends pas suffisamment de plaisir. Et j’avoue que je reste encore un peu perplexe face aux filles qui ADORENT avaler (un peu comme celles que j’ai pu voir se rouler par terre de plaisir après une sodomie d’ailleurs).
Force est de constater cependant qu’une partie du plaisir que je prends à recevoir du sperme est psychologique : l’idée que je suis à l’origine de l’éjaculation masculine, que je réussis à faire gicler un homme est terriblement jouissive. C’en est devenu une (petite) fierté. Est ce que les femmes réclamant le sperme ressentent la même chose ? Ou est ce qu’elles aiment avaler le sperme comme elles aiment avaler certains aliments ? Il faudra que je trouve l’occasion d’aborder ce sujet quand j’en croiserai une.
Une expérience à vivre également (j’en ai de plus en plus envie) : un gros bukkake. Pour celle et ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’un gang bang se terminant par une douche de sperme. Qui dit gang bang dit grand nombre de participants. Car même si j’ai déjà été arrosée par quatre ou cinq hommes, l’être par 10/15 hommes est un autre cap à franchir. Mais un jour, je serai prête, oui je serai prête…
Très sympa ton article !
En effet, selon ce que mange l’homme, le goût (et l’odeur) est différent. Personnellement, avaler je le fais juste pour le mien et de temps en temps, pas tout le temps.
Par contre, le bukkake, j’adore vraiment ça. Chacun de mes gang-bang ou pipalachaine se finit en bukkake, car je suis à la limite de jouir lorsque je reçois la jouissance sur le corps et quand celle de plusieurs hommes me recouvrent à m’en faire luire, c’est extatique. Il n’y a que l’après qui est bien moins jouissif : quand l’excitation redescend et que je me rends compte que je colle et pue le sperme à plein nez 🙁
HHmm je propose que vous commenciez à faire une liste d’inscription pour d’éventuels participants… et bien entendu je m’y inscris de suite…
En ce qui me concerne c’est aussi psychologique: savoir que c’est moi qui suis a l’origine de cette explosion de plaisir ne fait que décupler le mien. J’aime avaler aussi pour la force symbolique que ça m’inspire : se délecter de l’essence même de son homme .. C’est une forme de possession pour moi