Les retrouvailles toulousaines

Tout vient à point à qui sait attendre, selon le dicton. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il aura attendu pour me revoir, le Toulousain. Notre rencontre datait de 2018. Je l’avais revu deux fois, dans la foulée, avec des compères. Puis il y eut le Covid.

Depuis quelques mois, il me relançait régulièrement. Il faut dire qu’il avait pris un (grand) plaisir à recevoir une coquine gourmande, qui venait directement dans sa chambre d’hôtel. Même si j’appréciais ses coups de queue et son accent toulousain (notez que ça tient à peu de choses parfois), je n’étais pas dans le mood. Il fallut que des chaleurs m’agitent pour que j’accepte de (re)venir jusqu’à lui.

Oh tiens, entreprenant il se montre

Le Toulousain avait envie de me soumettre. Ce genre d’initiative n’était pas à son habitude et cela m’interpella. J’étais curieuse de voir s’il irait vraiment au bout de ce qu’il annonçait, avec la posture de dominateur qui irait bien.

Avant de lancer les hostilités, le Toulousain m’offrît à boire et prit de mes nouvelles, surtout libertines. Il me demanda si j’avais eu l’occasion de faire des gang bangs. Ce type de pratique l’excitait beaucoup, c’était un sujet de conversation récurrent entre nous (et je pourrais mettre ma main à couper qu’il serait plus que ravi d’être convié à un de mes gang bang). Il voulut également savoir si je continuais à écrire sur mon blog. Je lui répondis qu’avec le Covid, les rencontres au sens large s’étaient raréfiées et que oui, je continuais malgré tout à alimenter mon blog, autant que possible.

Montre moi ce que t’as dans le slip

Tout en continuant de parler, je posais mon verre vide et commençais à me déshabiller sous ses yeux (qu’est ce que j’ai pu me déshabiller ces derniers jours…). J’avais prévu un ensemble de lingerie jaune, dont je n’avais pas à rougir. Mais encore une fois, je décidais de me mettre directement nue. Du coin de l’œil, j’avais repéré deux cravates qui attendaient sagement. Rapidement, le Toulousain (qui s’était déshabillé lui aussi) s’en empara, m’ordonna de m’allonger sur son lit et attacha solidement mes poignets et mes chevilles.

Et on n’oublie pas de sourire !

Malgré les liens aux chevilles, le Toulousain sut très bien se débrouiller pour me pénétrer et alterner les mouvements. Les cravates ne restèrent pas en place bien longtemps, car pas pratiques pour alterner les positions et les angles de pénétrations. Le Toulousain se montra un peu directif, exprimant à plusieurs reprises le fait que ce type de scénario lui plaisait bien : “J’aimerais que tu viennes régulièrement te soumettre comme ça, hein petite salope”. Il ne pouvait pas rivaliser avec la poigne et l’expérience du Commandant, mais il avait le mérite d’essayer d’innover et d’apporter une touche supplémentaire à nos interactions sexuelles. Et nos sexes s’emboitaient toujours aussi bien.

Après cet enchainement de galipettes qui confirmaient encore son endurance, je relâchais un peu la pression, allongée sur le dos. C’est à ce moment là qu’il vint se placer au dessus de moi. L’heure avait tourné, lui comme moi avions des obligations et nous savions tous les deux qu’il était temps de passer au final, sous le flash de l’appareil photo de mon téléphone.

Après avoir craché son sperme épais sur mon visage (en évitant les yeux et les cheveux, comme je lui avais rappelé), il me dit [accent toulousain] : Ca va, ça te convient ?! Parce que je n’ai pas éjaculé hier pour tout te garder ! (sachant que ne lui avais rien demandé). Il m’avait fait don d’une quantité honorable de sperme en effet. Et ce fut tout fier, petit sourire en coin, qu’il alla prendre sa douche pendant que je me rhabillais, après avoir essuyé mon visage et envoyé les photos de ses exploits à mon homme. Sacré Toulousain !


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