Un peu de douceur dans ce monde de brutes

Pendant toute la période de confinement, le brut, coquin rencontré au Cap et que je revois de temps en temps, s’était manifesté régulièrement.

Il me partageait souvent des photos des paysages montagneux qu’il découvrait au cours de randonnées. Parfois des photos de sa belle gueule. Et ça me faisait toujours plaisir d’avoir de ses nouvelles.

L’inspiration coquine m’étant revenue, je me décidais à reprendre un rdv avec lui.

Avec le brut, ça avait toujours été des moments d’excitation courts et intenses. La faute à nos emplois du temps riches, chacun de notre côté, mais pas que. Fonctionner ainsi nous plaît bien.

En arrivant chez lui ce jour là, la dynamique fut différente. J’étais pour ma part encore en mode maman, ayant la veille récupéré ma fille qui avait passé 1 semaine chez ses grands-parents. Il l’avait senti lors de nos échanges sms. Et lui, je lui trouvais une petite mine et le sentais préoccupé. A force on finit par se connaître.

Une fois n’est pas coutume, nous avons vraiment discuté autour d’un café. Je lui ai raconté mes différents états d’âmes de confinement, nos projets d’avenir avec mon homme. Et pour la 1ere fois (alors que jusqu’à présent il éludait mes questions curieuses sur son travail), il me parla de ses ambitions du moment et des difficultés qu’il rencontrait.

Deux cafés chacun plus tard, sucrés pour les miens, noirs sans sucre pour les siens, je sentais qu’il fallait embrayer sur une autre dynamique au risque de se quitter en mode « bon bah, à la prochaine ! ». Et je n’étais quand même pas venue jusqu’à chez lui uniquement pour boire un café.

« Et du coup, quand est ce qu’on baise ? » lui ai je lancé, en le regardant droit dans les yeux, un petit sourire aux lèvres « Parce que j’ai mis un string quand même ». Ça le fit rire, c’était le but.

Il se leva et commença à se déshabiller. Je ne pouvais décemment pas ne pas l’aider et descendre ensuite sur son entrejambe.
Il apprécia particulièrement mes jeux de bouche et de langue ce jour là. Par la suite, il montra plus de douceur qu’à son habitude dans sa manière d’empoigner mes hanches et mes fesses, tout en se montrant ferme et précis dans ses coups de rein.

Une autre interaction qui m’excita aussi, en témoigna mon sexe naturellement lubrifié et mon envie à nouveau de le sentir au fond de mon cul. « Il faudra vraiment qu’un jour on prenne le temps et que tu me prennes le cul ».

Un jour, car ce jour là, je n’étais pas inspirée par une version longue et voulais qu’il me donne rapidement son sperme. Voir et sentir un homme se vider pour moi est excitant et flatteur, je l’avoue. A genoux devant lui, un coussin entre le sol et moi, je n’attendis pas longtemps avant de recevoir son don. Et quel don ! Je m’empressais de partager les photos avec mon homme, qui les attendait avec impatience.

Une reprise tout en douceur et en générosité. #ohlala


Mais qui est le “brut” d’abord ?

One thought on “Un peu de douceur dans ce monde de brutes

  1. Encore un superbe article …j’aime beaucoup cette série sur Le Brut, toujours pleine de rebondissements…et ce final juteux…magnifique ainsi honorée (mon péché mignon d’offrir ce genre de final à mes complices je dois avouer 😉 . Au plaisir d’échanger sur Wyylde. À bientôt. Yohan

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