Que celle qui n’a jamais utilisé un god me jette la première pierre.
Tout a commencé par une soirée coquine organisée par une vieille connaissance de David, un professionnel dans le milieu de la presse libertine. La soirée s’est déroulée
chez lui, un appartement à la déco moderne avec une agréable terrasse, et notre hôte avait prévu un dîner raffiné aux chandelles… ainsi que deux surprises.
La première surprise était longue, ferme, blanche et équipée d’une tête vibrante à plusieurs vitesses. C’était un godemichet tellement efficace, qu’il a provoqué 3 ou 4
orgasmes successifs d’une rare intensité. La seconde surprise était vêtue d’une robe noire mettant en valeur une poitrine généreuse et des courbes avantageuses. C’est avec Sara, libertine bi assumée, que j’ai connu ma première vraie relation sexuelle bi. Je décrirai cette expérience dans un prochain article, promis, pour ne pas m’éloigner du sujet du jour.
L’entrevue vibrante avec le gode a suscité l’envie d’en posséder un. Faire l’acquisition d’un godemichet ne m’avait jamais traversé l’esprit, mes doigts me suffisant amplement dans mes moments de plaisir solitaire. Et entendons nous bien, ce gode ne venait pas en compétition avec David (bien doté et maitre dans l’art de bouger son bassin) mais comme un plus qui viendrait pimenter nos ébats (et me transporterait au 7ième ciel en un temps record, sur commande…).
Un soir, en sortant du boulot, je suis donc passée dans une boutique dédiée au développement durable du couple (Passage du désir) et je me suis offert mon premier godemichet. Le choix du sex toy n’a pas été facile. Quelle couleur ? Quelle taille ? Quelle texture ? De forme traditionnelle ou plus travaillée ? La gamme de prix était en plus assez étendue. Il m’a donc fallu une bonne demi-heure pour sélectionner l’heureux élu.
Je l’ai donc choisi noir, de taille raisonnable, plutôt moelleux, avec une forme
traditionnelle et vibrant (c’était une évidence, n’est ce pas). Je me suis dit que c’était un coup d’essai et qu’il s’avérait concluant, je compléterai peut être ma collection, en achetant d’autres modèles, plus audacieux (et plus chers).
Bon, la majorité du temps, j’ai tendance à l’oublier au fond du tiroir de la table de chevet. Mais quand je pense à lui, je lui fais voir la lumière du jour et le bout de mon clitoris, pour une montée de plaisir tout en vibration. God, I thank you for all my pleasure !
J ai mieux si tu veux. Enzo qui meurt d envie de te rencontrer. Bien à toi