1, 2, 3… Chandelles

C’est ma 1ère sortie en club échangiste, depuis que  j’ai “juré fidélité” à mon homme en août. L’occasion de remettre le pied à l’étrier.

David et moi avons choisi d’aller aux Chandelles, club chic situé dans le 1er arrondissement, pour un after coquin ouvert aux couples mais aussi aux hommes seuls et femmes seules. J’y ai retrouvé l’ambiance feutrée et la déco glamour que j’aime tant.

Nous avons commencé par prendre un verre au bar. Quand mon homme me laissa seule quelques instants (pause technique), je me rendis compte que remettre le pied à l’étrier provoquait chez moi, comment dire, une certaine timidité. Alors qu’on ne peut pas dire que j’en sois à mon galop d’essai en terme de club échangiste, n’est ce pas ? J’ai un côté fleur bleue parfois, que voulez-vous.

Mon homme revenu, nous avons sympathisé avec Sébastien, près du bar, qui s’est avéré un amant très agréable par la suite. Nous avions choisi de coquiner dans la petite alcôve du club, une petite pièce de 5 m² dont les murs ont la particularité d’être recouverts de miroirs.  Sébastien, en plus d’être bien monté, avait un coup de bassin original et profond, fort appréciable…

Sur ma demande, mon homme invita Léo à se joindre à nous dans l’alcôve. Léo aimait lécher, je ne tardais pas à m’en rendre compte, pour mon grand plaisir, pendant que les mains de mon homme et Sébastien couraient sur mon corps.

Sébastien nous laissa dans l’alcôve et un autre habitué du club se proposa alors de venir en renfort, ce que je ne pouvais décemment pas refuser. Jamais 2 sans 3, comme le dit le dicton… Et la coquinerie se termina sur les commentaires admiratifs de ces messieurs sur ma croupe et mes seins.

2 thoughts on “1, 2, 3… Chandelles

  1. “Peut-on dire qu’il existe une définition stricte et universelle du libertinage ? Je ne pense pas, je dirais même que c’est à chacun de se faire sa propre définition du libertinage.

    Pour ma part, je libertine parce que j’aime la volupté et l’enivrement des sens, dans un état d’esprit de respect mutuel (qui va au-delà des mots et se ressent dans l’attitude) et de recherche du plaisir de l’autre (A mon sens, un libertin doit aimer autant donner du plaisir qu’en recevoir).

    Pour autant, je ne considère pas la recherche de jouissance physique comme une fin en soi. Le plaisir le plus agréable que je prends est intellectuel, lorsque je perçois celui de mon homme. Le contexte (c’est-à-dire la forme) est aussi pour moi très important (même si sur le fond, je pense qu’on peut avoir un franc parler et appeler un chat un chat) : l’ambiance glamour, le jeu de séduction, l’apparat ; la mise en scène. D’autre part, les instants coquins sont des moments de relâchement du corps et de l’esprit : Se laisser aller au plaisir, dans toutes ces dimensions, dans les seules limites que l’on a choisi de se fixer.”
    Article “Je libertine, tu libertines, nous libertinons”

    je suis tout à fait d’accord avec vous, je crois que vous m’apprenez des choses là, et je crois aussi que vous parlez en toute franchise, sincèrement J’ai beaucoup aimé vos témoignages; bravo pour votre analyse et votre franchise

  2. Humm tous tes récits m’excitent beaucoup. Je suis obligé d’ aller me masturber au travail en regardant tes photos et en me disant que je pourrais éventuellement te faire goûter mon sperme. N’hésite pas a m’écrire. Tendre lèche. Juan

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